Tesseracts
Le Tesseract est une forme de géométrie sacrée peu connu, elle est formée uniquement de traits formants de nombreux cercles, son centre et sa source apparaissent quand vous reliez ses points les plus éloignés entre eux.
Vous commencez par les cercles extérieurs en reliant ses points d'entrées les plus proches, qui vont former le premier cercle le plus éloigné du centre.
Plus vous regrouperez les points les plus éloignés entre eux , plus vous créerez de cercles se rapprochant de la source.
La symbolique est que pour finir l'union et rejoindre la source, les forces opposées doivent se retrouver et se confondre en un point .
leurs centre unifié.
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En le construisant à l'envers, il y a cependant peu de chance de rejoindre les points les plus proches entre eux, vous vous serez certainement perdu en chemin avant d'y arriver
Dans un autre plan ces cercles et traits se nomment CUBE**...
Le tesseract est l'hypercube quadridimensionnel
Le tesseract est au cube ce que le cube est au carré. C’est un hypercube, un cube à quatre dimensions. C’est une manière visuelle de représenter en trois dimensions un espace à quatre dimensions.
Il est de commune mesure de considérer le phénomène de la conscience uniquement à travers des études abstraites, dans lesquelles la conscience est analysée sans lien aucun avec son environnement, ni aucunes attaches qu’elle peut entretenir avec son espace d’expression. Nous postulons qu’il ne peut exister de conscience sans espace et que son existence même en découle. Autrement dit, toute conscience s’ancre dans un réseau spatial qui s’étage sur plusieurs couches de réalité et plus ce réseau est volumineux, plus la conscience prend conscience de sa propre existence et de ce qui l’environne. Nous devons considérer que la conscience est un volume, et à notre échelle de la réalité, la conscience est une sphère contenant de multiples plans du réel en sphères concentriques.
Le réel est tout ce qui existe, quant à la réalité, elle englobe l’ensemble des expériences vécues au sein du réel par un organisme vivant. Il y a donc un réel, et plusieurs réalités. Or, aucune conscience ne pourrait exister sans un substratum sous-jacent au phénomène de la conscience. De même que l’espace est en fait une qualité du temps, la conscience est une qualité de la Présence. Le terme Présence exprime la seule chose réelle et fondamentale qui puisse être, c’est-à-dire le temps présent, ainsi que l’entité qui s’y tient par-delà tous les phénomènes existants. L’accointance entre le temps et la Présence n’est pas anodine, car le déploiement de l’un est simultanément le déploiement de l’autre. Autrement dit, le déploiement de la Présence est une expansion synchronique entre le passé et le futur à partir d’un point de jonction qui ne se tient pas sur notre ligne de réalité, ou du moins chaque présent est un point de conjonction entre ces deux mouvements temporels. Par conséquent, nous devrions inverser la formule « espace-temps » par « temps-espace ». C’est la raison pour laquelle l’espace est une expansion du temps présent au même titre que la conscience est une extension de la Présence en un point donné dans l’espace.
Le tesseract standard en 4-espace euclidien, est limité par huit hyperplans
Chaque paire d'hyperplans non-parallèles se coupent pour former 24 faces carrées dans un tesseract. Trois cubes et trois carrés se coupent à chaque arête. Il existe quatre cubes et six arêtes qui se rencontrent à chaque sommet. Au total, il est constitué de 8 cubes, 24 carrés, 32 arêtes et 16 sommets.
En géométrie, le tesseract, aussi appelé 8-cellules ou octachore, est l'analogue quadridimensionnel du cube (tri-dimensionnel), où le mouvement le long de la quatrième dimension est souvent une représentation pour des transformations liées du cube à travers le temps. Le tesseract est au cube ce que le cube est au carré ; ou, plus formellement, le tesseract peut être décrit comme un 4-polytope régulier convexe dont les frontières sont constituées par huit cellules cubiques.
Nous vivons dans un espace à trois dimensions : largeur, hauteur, et profondeur. Pour donner rendez-vous à un ami, nous lui indiquons un point précis, intersection de ces trois dimensions. Rendez-vous rue Victor Hugo, au numéro 12, au troisième étage. Toutefois, pour qu’un rendez-vous soit précis, il faut y ajouter une heure précise. Le temps : voilà la quatrième dimension. Une dimension différente. Si nous pouvons à loisir nous déplacer dans l’espace, en avant et en arrière, en revanche nous ne pouvons pas remonter le temps qui avance inexorablement vers le futur. Les lois de la relativité interdisent les voyages dans le passé, avec ou sans DeLorean. Notre univers est donc composé de trois dimensions spatiales et d’une dimension temporelle[i].
Dans l’univers de Marvel Le Tesseract, aussi appelé le Cube, est une unité de confinement cristalline et cubique servant d'enveloppe pour la Pierre de l'Espace, une des six Pierres d'Infinités plus anciennes que l'univers et qui possèdent une énergie illimitée.
Il fut utilisé par plusieurs anciennes civilisations avant de tomber entre les mains des Asgardiens, à l'intérieur du Coffre-fort d'Odin. Finalement, il fut amené sur Terre et laissé à Tønsberg, où il fut gardé par des fanatiques dévoués aux Asgardiens.
Les origines du Tesseract remontent à des temps immémoriaux, avant l’existence des mondes peuplant l’univers. Sa naissance coïncide avec celle des pierres d’infinité ; ces dernières résulteraient du Big Bang.
Cette gemme de couleur bleue octroie à son utilisateur le pouvoir de voyager à travers l’univers, en le téléportant dans des trous de vers servant de ponts entre les mondes.
A la fin du film Interstellar après avoir passé l’horizon des événements du trou noir, Cooper s’éjecte du vaisseau pour éviter d’atteindre la singularité et d’être réduit à néant. Bientôt, lui et le robot TARS parviennent dans un endroit aux propriétés étonnantes, le tesseract.
Le postulat du film Interstellar, souvent rappelé par les membres de l’équipage est que le voyage dans le passé est impossible. Le temps peut se contracter, s’étendre, ralentir, accélérer… mais pas reculer ! Le tesseract est une nouveauté pour Cooper à laquelle il n’était pas préparé.
Au sein de ce tesseract, Cooper est en mesure alors de communiquer avec sa fille en utilisant la puissance de la gravité du trou noir. Dans les faits, un trou noir étant issu (toujours en théorie) d’une étoile qui s’effondre sur elle-même, rien ne peut s’y échapper par effet gravitationnel. Devant tant de compacité (le poids d’une étoile sur un volume infime), le champ gravitationnel du trou noir absorbe tout, la gravité y régnant étant alors gigantesque. C’est en utilisant justement la puissance de la gravitation du trou noir que Cooper peut donc communiquer avec sa fille, et lui transmettre les messages. D’abord par la position de la poussière sur le sol, puis par la chute des livres, et enfin par les vibrations des aiguilles de la montre.
Cooper émet l’hypothèse que le tesseract puisse être créé par des êtres humains dans le futur, maîtrisant alors suffisamment la technologie en 4 ou 5 dimensions pour créer ce type d’univers.
C’est de cette manière qu’il nous faut entrevoir la Présence ou, selon le langage des physiciens la Matrice, et des religieux l’Esprit.
Pour l’hypercube, nulle dimension extérieure ou intérieure n’existe, nulle dehors ou dedans. Nous voyons en fait l’espace du dedans se déployer au dehors, et vice versa, dans un incessant tournoiement pluridimensionnel.
C’est une pure unité. Tel est l’Esprit substratum du réel, c’est un continuum hypercubique qui est sous-jacent à chaque objet que nous percevons à l’extérieur et qui agit en chaque organisme vivant à travers le jeu de la conscience.
En fait, la conscience n’existe que dans un espace qui fait figure de stockage de mémoire, ce qui implique que chaque être vivant possédant une conscience est un déploiement structurel de la Présence dans lequel la courbe du temps se dilate de plus en plus. Chaque être vivant est, par conséquent, une divine présence qui actualise au présent la Présence.
En d’autres termes, tout ce qui existe est une théophanie divine. L’Univers est antinomique, il est le résultat de la loi de la polarité et c’est la raison pour laquelle l’immanence divine (théophanie) ouvre sur la transcendance. Seule l’idée d’une manifestation de la transcendance dans l’immanence, de l’invisible dans le visible et du caché dans l’apparent, permettra alors de faire droit à la profonde unité du réel, et par là même, d’ouvrir la voie à l’intériorisation d’une telle unité en l’homme via l’introspection de sa propre conscience.
